Le syndrome de la page blanche (astuce #3)
Vous l’avez deviné avec ce titre : je poursuis avec mes petits trucs pour dépanner l’écrivain lorsque l’inspiration a pris la fuite. C’est parti pour l’astuce #3 : Goûter le brouhaha de la vie À l’opposé de certains écrivains qui ont besoin de calme et de solitude pour voir surgir l’inspiration ( voir l’astuce#2 à ce sujet ), d’autres sont plutôt attirés par l’activité, le bruit et la frénésie. Ils rencontrent les amis, vont au concert, sortent danser, participent aux conversations, fréquentent les bars ou les marchés publics, etc. Pour eux, l’inspiration est à chaque coin de rue, dans chaque rencontre, dans les moindres choses du quotidien. D’ailleurs, ils trimballent très souvent un petit calepin et un crayon où ils notent les idées dès qu’elles surviennent. À défaut, la serviette de table où le napperon taché de sauce du restaurant peut aussi faire l’affaire... Ainsi, par exemple, l’anecdote de bureau racontée par une amie se transformera, dans l’esprit aigui